Vivement le 30 septembre!... Une coure à laquelle 5 membres du club veulent participer (Se b., Seb d., Nicolas b., Norbert M., Erwan d....)... En espérant en convaincre d'autres...
The 34th BERLIN-MARATHON will boost a field of more than 40,000 athletes from over 100 nations on 30th September. Start and finishing areas are located in the heart of the capital next to Germany’s most famous landmark: the Brandenburg Gate. Reichstag and Siegessäule are nearby as well. Running through Brandenburg Gate just before the finish is a very emotional moment. More than a million spectators will cheer you on along the course. Live music is played at at least 60 locations and at all the famous landmarks, which are passed by the runners. The course of the BERLIN-MARATHON is renowned. It is flat and fast. You will find ideal conditions to break your personal best. Five world records are proof of that. It was in 2003 when Kenya’s Paul Tergat broke the world record, which still stands at 2:04:55.
Don’t miss this fantastic marathon weekend in Berlin!
Adrien Guilleminot est journaliste à L'Entreprise... L'année dernière j'ai été assez marqué par un article qu'il a écrit et qui est un des élements déclencheurs de mon envie de regrouper des professionnels passionnés de course à pied... En voici quelques extraits...
... Au dernier salon Marathon Expo de Paris, 38 % des visiteurs étaient des cadres supérieurs ou des professions libérales. Qu'est-ce qui les fait courir ?... Au départ, pas forcément l'amour de la course à pied. La plupart des managers que nous avons rencontrés partageaient les idées reçues sur la course : une activité solitaire, pas très ludique... Certains s'y sont pourtant risqués par défaut, comme Clem Garvey, le PDG de NRG France, le numéro 3 du copieur numérique en Europe. « J'avais repris le karaté, que je pratiquais dans ma jeunesse, explique-t-il. Souvent pris par le temps, j'ai raté de plus en plus de cours et j'ai dû abandonner. Pour continuer à faire du sport, j'ai suivi les conseil d'un coach, qui me proposait un programme d'entraînement pour courir le marathon. » D'autres s'y mettent par nécessité, comme Sébastien Breteau. Le PDG de Sebo, qui cherchait à perdre du poids, a mené de front course et régime il y a trois ans, et a fini son premier marathon un an plus tard. D'autres, enfin, se sont laissé... entraîner. « Je m'y suis mis à la suite d'un pari avec deux amis, se souvient Pierre Lasry, PDG de Lowendal Group, un cabinet de conseil en optimisation des coûts. Autant dire qu'au début le défi nous semblait insurmontable... »... Tous relèvent l'adéquation entre leur vie professionnelle prenante et la pratique de la course à pied : pas d'entraînement à horaires fixes... et une simple paire de baskets pour tout équipement...Un effort intense mais régulier recharge les batteries au lieu de fatiguer. « Si je ne courais pas, je ne pourrais pas tenir le rythme professionnel que je m'impose », soutient Pierre Lasry... La pratique du marathon est valorisante à plus d'un titre pour les managers. D'abord parce qu'ils y réussissent, et progressent régulièrement. Affaire d'esprit de compétition, sans doute : « Dans tous les domaines, j'ai besoin de mettre la barre plus haut pour avancer, note François-Xavier Mounier. Dans mon job comme dans mes baskets, je retrouve cette même culture du challenge. »... Même les plus dilettantes, comme le fondateur d'Alapage et actuel patron de Maxicours.com, Patrice Magnard, résument l'esprit de l'épreuve ainsi : « Si je démarre, je termine, même à plat. »... Aux antipodes du cliché du sport individuel et donc égoïste, le marathon peut aussi se révéler facteur de cohésion. D'abord parce que les coureurs ont le sentiment de faire partie d'une communauté : « Il y a une forme de connivence entre nous, relève Damien Palacci, manager chez Bearingpoint. Je discute souvent course à pied avec mes collègues et clients qui en font. » Utile pour tisser des réseaux, mais on peut aller plus loin dans la démarche. « Chez Cisco, nous prévoyons de monter une équipe pour un marathon en 2004 », dit François-Xavier Mounier. Une bonne façon de motiver ses troupes, envisagée également pour 2005 chez NRG France. Cette entreprise a l'habitude de lier son image à celle du marathon, puisqu'elle sponsorise celui de Londres. Et son patron propage le virus. « En séminaire, je propose à mes collaborateurs de venir avec moi le matin, raconte Clem Garvey. Ça renforce la cohésion. Je fais la même chose lors de la réunion annuelle avec nos distributeurs. » Alors, discipline à usage professionnel, le marathon ? Pas seulement. « La satisfaction personnelle est très forte quand on franchit la ligne pour la première fois, assure Sébastien Breteau. Cela change l'opinion qu'on a de soi-même et le regard des autres. » Pour Luigi Gropallo, « il y a un côté festif, et un effet d'entraînement psychologique énorme ». Une dimension surtout sensible dans les grands marathons anglo-saxons. « Pour mon premier marathon, on m'avait conseillé d'imprimer mon prénom sur mon tee-shirt, raconte Clem Garvey. Je l'ai fait sans conviction... Mais des milliers de personnes qui crient "Come on, Clem !" sur le bord de la route, c'est fantastique ! »
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